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3 mars 2012

What's Next?

Pendant mon dernier week-end chez mes parents, j'ai chargé les coffrets des 7 saisons d'A la maison blanche dans mon sac pour les ramener. Parce que chez moi sans mes DVD d'A la maison blanche, c'est jamais complètement chez moi. Je me suis flingué le dos mais ça veut dire que j'ai pu regarder à nouveau la série depuis le fond de mon lit, avec la même fascination qu'au collège, malgré un nombre non négligeable de visionnages depuis ces 10-12 dernières années. (Et pourtant, mon PC persiste à les appeler "DVD inconnu". Inconnus ? Abruti.)


D'un juge de la Cour suprême qui rend des avis écrits en vers à un génocide dans un pays africain, la série passe du rire aux larmes et à la tension, accumule les répliques incisives et sarcastiques dont j'aimerais couvrir mes murs, mes meubles et mes rideaux pour vivre entourée de génie et d'intelligence. Des acteurs fantastiques, des scénarios brillants, des dialogues intelligents et une mise en scène étourdissante (en partie parce que suivre des personnages qui ont des conférences en arpentant des couloirs interminables, ça donne le tournis, mais en partie seulement), la recette de l'addiction.


J'arrêterai d'écrire à intervalles irréguliers de nouveaux articles pleins d'admiration et de passion absolument pas dissimulées pour cette série le jour où elle cessera d'être brillante.

Oh, A la maison blanche. Tu m'as manquée, vieille amie.


Episode 2x16 "Somebody's Going to Emergency, Somebody's Going to Jail"

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