Pages

16 août 2013

Oh tiens, une brêve

"L'acqua-toffana – aussi surnommée la "manne de saint Nicolas" car elle servait spécialement aux épouses désireuses de se débarrasser d'un mari gênant [...]"

Je crois que, des fois, ce que je préfère dans mon travail, ce sont les recherches.

13 août 2013

Brêve détachée

Je manque un peu de sommeil en ce moment. En tout cas, c'est la seule explication que j'aie trouvée pour justifier le fait que le prénom Wolfgang m'a donné envie de ricaner toute la journée de lundi parce que je suis une série avec des loups-garous et que Wolfgang, ben ça fait un gang de loups, donc une meute, comme dans Teen Wolf et... AHEM. Je ne pensais pas vraiment en arriver là en acceptant un documentaire sur Mozart. Au passage, je trouve que ma collègue de bureau a choisi de s'absenter pendant six mois à un moment tout à fait opportun.

Par ailleurs, je blâme également totalement le manque de sommeil (et le fait que toutes les séries que je suis ont décidé de s'acharner sur mes personnages préférés qui n'avaient rien demandé, et qu'accessoirement, je viens de finir The Walking Dead dont l'intrigue pourrait se résumer par : "Tu crois que la situation ne peut pas empirer ? Oooooh, mais si, tiens, regarde.") pour le fait que quand la voix off a annoncé que Mozart venait de se faire briser le cœur pour la première fois par une fille dont je n'avais jamais entendu parlé (oh, et il y a 300 ans, aussi), j'étais prête à sortir le katana pour aller lui refaire le portrait, non mais sale pute.

Sinon, je trouve que je gère plutôt bien mes problèmes de détachement.


1 août 2013

Brêve estivale

Mes collègues parisiens savent parfaitement mettre en avant les atouts de leur ville.
Pour preuve, hier, au pot de départ des stagiaires qui repartaient dans leurs régions respectives, ils ont tenté de les convaincre de rester en arguant, je cite :
"Vous verrez, pendant le mois d'août à Paris, y a personne !"
"Vous pourrez vous asseoir dans le métro."
"Hé même, encore mieux, vous pourrez choisir votre place !"

Et ça, si c'est pas de l'argument blindé pour venir vivre à Paris, je ne sais pas ce qu'il vous faut.