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6 avril 2012

Et 2012 fut.

Si on m'avait dit un jour que je passerais des heures, des soirées, des dimanches à dessiner des badges, à chercher la teinte de rose idéale, à détourer pixel par pixel des dessins de loupe et tasse chopés sur Google Images et à faire des comparatifs de polices, j'aurais probablement eu un petit rire dubitatif teinté de condescendance.

Seulement, voilà, j'ai à présent dans les mains la preuve tangible qu'il ne faut jamais dire jamais.

Et ils sont beaux, mes badges.


 

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