Pages

19 janvier 2013

Suite des deux brêves précédentes

(Oui, je suis traumatisée.)

Je veux bien admettre que toutes les héroïnes de period drama n'ont pas des vies faciles. D'ailleurs y a "drama" dans le nom de genre. C'est tout dire.
Par exemple, je pense qu'on peut se mettre d'accord sur le fait que Margaret Hale a quand même une vie de merde (ça va avec le nom de famille, ça) et qu'Anne Elliot n'est pas très gâtée au niveau familial.

Mais quand au début du deuxième épisode de Tess d'Urberville (il y en a quatre), l'héroïne a déjà une vie plus pourrie que toutes les héroïnes austiniennes réunies et que ta coloc te conseille de ne pas trop attendre de happy-end, tu commences à sentir qu'Orgueil et préjugés aurait peut-être été un meilleur choix de mini-série du week-end.

Aucun commentaire: